Cet après-midi, le président de l’AgglO annoncera s’il change, ou pas, de délégataire de service public. Il a le choix entre deux concurrents : Veolia-Transdev et Keolis. Ces deux groupes sont numéros 1 mondiaux et se partagent les marchés, en France et à l’étranger.
La Setao, société filiale de Veolia, exploite le réseau des transports publics de l’AgglO (bus, tram, parkings relais, transport des personnes à mobilité réduite…) depuis trente ans.
Le dernier contrat de délégation de service public (DSP), conclu en 2003, arrive à échéance au 31 décembre 2011.
Fin du suspense
C’est au président de l’AgglO, Charles Éric Lemaignen, qu’incombe le choix du prochain opérateur.
Choisira-t-il de continuer un bout de chemin avec la Setao, qui défend son bilan ?
La Setao, société filiale de Veolia, exploite le réseau des transports publics de l’AgglO (bus, tram, parkings relais, transport des personnes à mobilité réduite…) depuis trente ans.
Le dernier contrat de délégation de service public (DSP), conclu en 2003, arrive à échéance au 31 décembre 2011.
Fin du suspense
C’est au président de l’AgglO, Charles Éric Lemaignen, qu’incombe le choix du prochain opérateur.
Choisira-t-il de continuer un bout de chemin avec la Setao, qui défend son bilan ?
Ou optera-t-il pour un nouveau partenaire ?
La Setao emploie 750 salariés. Les trois quarts d’entre eux seront repris si Keolis est désigné. Ce serait une mini révolution.
« On attend, explique Luc Egoumenides, directeur de la Setao. On a un beau réseau. On n’a pas à rougir de notre bilan. On a fait notre boulot. Mais au bout de trente ans, c’est normal qu’il y ait des interrogations et qu’on se demande si l’herbe n’est pas plus verte ailleurs. »
Une fois négocié avec le délégataire, le contrat sera soumis au vote, en conseil d’AgglO, à l’automne.
La Setao emploie 750 salariés. Les trois quarts d’entre eux seront repris si Keolis est désigné. Ce serait une mini révolution.
« On attend, explique Luc Egoumenides, directeur de la Setao. On a un beau réseau. On n’a pas à rougir de notre bilan. On a fait notre boulot. Mais au bout de trente ans, c’est normal qu’il y ait des interrogations et qu’on se demande si l’herbe n’est pas plus verte ailleurs. »
Une fois négocié avec le délégataire, le contrat sera soumis au vote, en conseil d’AgglO, à l’automne.
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