vendredi 6 juin 2014

Collaboration et mobilité, avis d'experts et dossier spécial ZDNet

C'est ma première participation à l'atelier en ligne de FrenchWeb sur la « Collaboration et mobilité: Bouleversement des méthodes de travail en entreprise  ». Cet atelier était animé par Jean-François Ruiz.

Des échanges entre experts qui nous rappelle que certaines problématiques liées à la mobilité étaient déjà d'actualité au siècle dernier, comme quoi la technologie est encore perfectible mais que l'humain lui est resté sur des usages de base.


Les intervenants et leur profil
Pascal Ly


Quels avantages ont les entreprises collaboratives à travailler en mobilité?

La mobilité ne se réduit pas à la possession d'un device connecté . Pour les entreprises et les salariés travailler en mobilité est plutôt lié à la productivité et ce à tout moment en tout lieu depuis n'importe quel terminal.

La mobilité doit être une extension de son poste de travail et doit permettre de réaliser les mêmes tâches ...à l’extérieur , depuis chez soi, en déplacement, en clientèle.

Le travail en mobilité permet de suivre son activité en temps réel, d'échanger (voix, vidéo, chat), de partager (stockage sécurisé des emails, documents..., source commune, fiabilité et fraîcheur des informations), tout en conservant le "contexte" , avec son équipe mais aussi ses partenaires et ses clients.

Un constat  

Pour les salariés, la mobilité dans les transports se résume à la consultation des emails ( asynchrone), au surf sur internet et aux jeux et non à la collaboration sur des projets et à la création d'information.

Le télétravail en France est peu développé.
Les freins principaux sont la culture française avec le contrôle hiérarchique et la non-capacité à collaborer à distance par défaut d'outillage, de solutions.
On parle de télétravail "gris" lié à la sociologie du travail en France.
Le télétravail dans la fonction publique est inexistante et accentue ce retard.

La mobilité est présente dans les grands groupes mais aussi dans les PME PMI , et concerne tous les métiers. Elle se généralise avec les solutions "Cloud "qui apportent des services de messageries (email, messagerie instantanée), vidéo et réunion en ligne, de partage de documents (exemple Microsoft ), gestion de projets ( ex: azendoo) mais aussi de productivité personnelle ( evernote...) et de plus en plus de solutions métiers.

Les maillons faibles

La condition sine qua non pour une généralisation de la collaboration en situation de mobilité est et reste en 2014 le Réseau. La qualité et la stabilité,voir la "Connectivité permanente" de celui-ci est le chaînon manquant en 2014.

Voir l'article de Libération 


De plus en France le frein principal est l'absence de culture collaborative. Il est nécessaire d'éduquer les utilisateurs  sur des cas d'usages et sur les outils au lieu de tout échanger via l'email.
Il faut accepter d'investir du temps pour apprendre à maîtriser les solutions de collaboration pour gagner du temps par la suite...tel est le credo de Yann Gourvennec

Les tendances 

Trop de télétravail peut désorganiser des équipes, il peut être nécessaire de regrouper en un lieu les salariés pour les amener à collaborer pour retrouver du dynamisme, des interactions... et ce selon les métiers. Arrêtons de généraliser les situations de travail pour tous et proposons des contextes plus souples.
Quant aux attentes utilisateurs elles se résument à  une ergonomie simplifiée des solutions de collaboration et de mobilité  ne nécessitant pas d'accompagnement à la découverte.

Les solutions aujourd'hui:

Les outils ou solutions sont déjà présents sur le marché mais leur hétérogénéité ne facilite pas l’interconnexion et leur interopérabilité.

Pour compléter voici un dossier Spécial Mobilité de ZDNet sur les Tendances et cas d'entreprise et de collectivités comme Toulouse (slide 5), Groupama (slide 22)



jeudi 27 février 2014

Pyramide de Maslow et médias sociaux

Je partage avec vous un  article et surtout  une illustration de l'agende Tube2com  qui synthétise les besoins liés aux médias sociaux avec une double optique : grand public et entreprises
Le site d’infos collaboratives  Maximise Social Business a récemment publié, sous la plume de l’auteur Raymond Morin, la pyramide d’influence dans les médias sociaux. Basée sur la célèbre pyramide de Maslow  qui hiérarchise les besoins en fonction de leur importance, la pyramide d’influence hiérarchise les besoins des internautes et les stratégies des entreprises sur les réseaux sociaux.

Pas grand chose a ajouter , si ce n'est de vous conseiller d'accorder 5 minutes de lecture et de vous demander à quel niveau vous situez -vous dans cette pyramide?

mercredi 19 février 2014

Super Signature Crossware pour des supers marketeurs

Comment jugez-vous la signature de vos emails?
1. Vous n'avez pas de signature
2. Elle ne représente pas ma société
3. Elle n'est pas personnalisable
4. Elle n'est pas "vendeuse"
5 .Elle est communicante, personnalisée, vendeuse et toujours d'actualité

Si vous avez coché l'une des 4 premières propositions , alors partez à la découverte de Crossware

J'utilise la solution de signature d'email Crossware pour standardiser toutes les signatures de tous les services et mener des campagnes événementielles.









Les + :
Facile à paramétrer
Facile à personnaliser
Facile à utiliser quotidiennement sans devoir relire la documentation utilisateur



jeudi 6 février 2014

La géolocalisation au service des administrés et de la ville

Quelques expériences de Géolocalisation de ces encombrants, anomalies et incivilités qui viennent nous "contrarier" au quotidien :


L'AgglO Orléans Val de Loire expérimente depuis septembre 2012, un service de géolocalisation des incivilités et anomalies dans les rues. Des agents photographient les "incidents" via un smartphone et partagent cette information avec un coordinateur qui fait une demande d'intervention auprès du ou des services concernés.
Retrouvez l'article complet en ligne AgglO N°33

C'est déjà un premier pas


Paris va plus loin et teste depuis l'été 2013, une application mobile et un site pour permettre aux Parisiens de signaler les anomalies rencontrées dans la rue, au cours de leurs pérégrinations.

Descriptif de l'application en quelques points :

techniquement : Les applications mobiles ont été développées par des experts reconnus de ce type de dispositif. Leurs codes sources, ainsi que le code du dispositif de gestion utilisé par les services de la Ville, seront publiés en open source. C’est à dire qu’ils pourront être adaptés et réutilisés librement par d’autres territoires.

sur le terrain : L’application mobile ou le formulaire Internet n’est que la petite face immergée du dispositif. Avec la géolocalisation et la qualification de l’anomalie, celle-ci est directement envoyée au service le plus proche et le plus compétent pour l’analyser et la traiter. Un opérateur local déclenche les actions nécessaires et tient l’utilisateur à l’origine de la remontée au courant du traitement (si celui-ci a bien enregistré son mail en même temps que l’anomalie constatée).

et la charge de travail :  L’application en ligne va se substituer et compléter les applications déjà en ligne sur Paris.fr (graffiti, éclairage…) et simplifier la tâche des Parisiens . L’application sur smartphone  vient en partie en substitution des appels téléphoniques et des courriels reçus par divers canaux. La connexion directe de l’application avec des applications métiers ou des prestataires comme l’enlèvement des encombrants, l’enlèvement des graffitis, la réparation de l’éclairage public et de la signalisation lumineuse et d’autres encore doit faciliter la résolution des anomalies.
Globalement le dispositif permet de centraliser les anomalies pour mieux les prioriser et organiser les traitements.
Retrouvez l'article complet en ligne sur la lettre PARIS

vendredi 10 janvier 2014

Etat des lieux des réseaux sociaux et tendances par Vanksen

Une belle étude approfondie des réseaux sociaux conversationnels et d'image et les tendances à surveiller pour 2014

Merci à l'agence Vanksen pour ce travail et surtout ce partage